Le monde où nous vivons !
Reblogué le 02 mars 2021
Parler d’un monde, ou l’humanité ne représente rien. Elle est gérée, par les convoitises et les intérêts stratégiques. Différentes catégories humaines, l’élite, qui réfléchit et tire les ficelles, celle qui travaillent et exécute les plans de l’élite et celle qui ne sert à rien.
Ils sont nombreux ceux qui ne servent à rien, ils sont là pour mener des guerres et mourir, pour lutter contre l’injustice et mourir, pour rejeter l’esclavage et mourir, pour défendre leur terre et mourir, pour défendre leur pain quotidien et mourir, pour protéger leurs enfants et mourir.
Cette troisième catégorie qui représente la grande majorité des habitants de la terre ne sert qu’à consommer ce qu’on lui propose comme marchandise. Encaisser les mauvais coups, les spoliations et les privations. Ces êtres humains de la troisième catégorie, ont pour unique rôle gober, ingurgiter, croire, servir, ‘se tenir à carreau’ ou crever.
Je dépeins la situation d’une manière crue, car c’est ça la réalité, même si on l’enrobe de papier-dentelle, de belles paroles, de propagande, de démagogie, de maléfice, avant de nous la présenter, nous les humains de la troisième catégorie.
Si parmi nous une voix s’élève et s’indigne du traitement qu’on nous inflige, elle est vite étouffée, par une contre-offensive pernicieuse, sournoise, pour nous faire de nouveau retomber dans la torpeur.
Nous sommes appelés à vivre pour ‘avoir’ et non pas pour ‘être’. Nous devons respirer à travers les besoins que l’élite crée pour nous maintenir, dans l’éternel goût d’une possession purement matérielle. Nous en oublions la nourriture de l’âme.
Nous réagissons constamment de la même manière déficiente, aux menteries aux hypocrisies, aux effronteries qui nous sont servies, régulièrement, inlassablement sans répit, seul l’emballage change. La naïveté dont nous faisons preuve devant chaque ruse, chaque stratagème, est étudiée, disséquée, analysée, pour mieux nous dompter et nous garder dans l’obscurité, nous abrutir, encore et toujours, par des informations maquillées, mastiquées, passées dans la raffinerie de la machine de l’élite maléfique, qui nous dirige, nous mène par le bout du nez et nous dictent même nos pensées.
Sommes-nous, peuple de la troisième catégorie, aptes à se réveiller un jour et répondre à cette main mise sur nos faits et gestes?
Non, je ne le crois pas. La machine de la propagande est bien rodée, elle connaît toutes nos réactions actuelles et futures. Une machine qui ne rouille pas, qui ne coince pas, elle est huilée, faite pour des siècles encore de soumission, d’obéissance et de docilité.