Casablanca, ville sale, chaotique, où les averses de chaque saison hivernale mettent à nu la défaillance des infrastructures de base. Son conseil de la ville est pointé du doigt… Lors de son unique apparition, le 7 janvier sur 2M, le maire, Abdelaziz El Omari, a réduit ses responsabilités à celles d’un simple vaguemestre. Un “Rekkas”.
Source: Maroc Hebdo
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