Les crues exceptionnelles ont mis à nu l’insuffisance des investissements dans les infrastructures de la ville ainsi que le défaut de gouvernance et de vision des élus. En somme, Lydec et le Conseil de la ville sont tous deux responsables du calvaire actuel des Casablancais.
Après une année 2020 de pandémie et de forte sécheresse, le Maroc espérait voir la pluie tomber en 2021, prémices d’une bonne année agricole et donc d’une croissance économique tant attendue.
Source Média24
lien https://ethiqueetsociete.com/?post_type=news&p=6831&preview=true