La tournure que prend notre société est alarmant. Les réseaux sociaux contribuent à approfondir sa futilité, sa passion malsaine du sensationnel et son manque d’éthique.
Le buzz est devenu un élément destructeur de nos valeurs. FB, Twitter, WhatsApp, YouTube et compagnie ont porté et portent préjudice à la bonne évolution de notre société. Publier n’importe quoi, n’importe comment est une tendance dangereuse qui nuit au développement de l’être humain dans notre société.
Se cacher derrière un écran, ordinateur ou smartphone, donne à une certaine catégorie de gens, le courage de propager des mensonges, de diffamer, de raconter des histoires à dormir debout, d’arnaquer et d’induire les gens en erreur.
Il’y a le créateur du mensonge, celui qui le produit, celui qui le fait circuler sciemment et celui qui n’y voit que du feu, qui le croit ou pas et qui le partage, quand même, à son niveau. Du coup on assiste à une multiplication phénoménale de contre-vérités et de tromperies dans notre société, qui est tout sauf avisée.
Les réseaux sociaux n’ont pas que des mauvais côtés. Ils peuvent être parfois, une tribune pour ceux qui n’ont pas d’autres moyen de transmettre des messages importants. Ils peuvent être un champs inépuisable d’informations utiles. Ils peuvent être une source de revenu pour ceux qui savent les utiliser à bon escient. Malheureusement et surtout, ils peuvent tout aussi bien être une arme de destruction massive. Capable de produire des dégâts sociaux irréversibles.
Or c’est se qui se passe dans nos milieux assoiffés de tout ce qui peut produire une forte impression, tout ce qui touche les émotions et qui ébranle l’autre et attise sa curiosité. Ceux qui en font un gagne pain sont la pire espèce, car ils prolifèrent et nous donnent une sensation de dégoût indescriptible.
C’est bien la raison qui m’a poussée à écrire ce billet, car un homme avisé en vaut deux, d’après le dicton.
Pour donner un exemple, je partage cette vidéo que j’ai trouvée sur YouTube et qui traite du sujet.